Le comble
de l’absurde, ou de la bêtise, est franchi : le metteur en
scène Yariv Horowitz présente à au Festival
International du film d’Aubagne (France)
son film « Rock The Casbah » pour tenter d’y glaner un quelconque
prix. Il obtient en effet la "mention spéciale du jury" et, en prime, se
fait tabasser jusqu’à perdre connaissance par une bande de jeunes
arabes, dont l’un aurait déjà visionné le film.
Le film qui se passe pendant la première Intifada met en scène 4
soldats israéliens sur le toit d’une maison à Gaza ; ils tentent de
débusquer le salopard qui a tué un de leurs amis. Les moyens qu’ils emploient
ne sont évidemment guère à mettre au crédit de Tsahal, comme tous les films de
cet acabit tournés par des réalisateurs bien pensants de la gauche israélienne.
Au lieu de lui voter un coup à boire pour le remercier de sa contribution à la
propagande anti-israélienne, les Arabes tabassent Horowitz.
La moralité de l’histoire est que l’on n’a rien à gagner, à part
une bastonnade, à tenter de
plaire à ses ennemis, qui se foutent pas mal qu’un Israélien défende la cause
palestinienne. La seule chose qui compte à leurs yeux est qu’il est
précisément Israélien.
Les résultats des prix au Festival d’Aubagne sont déjà
publiés ; pensez-vous que bastonnade d’un Israélien le soit ? Ça m’étonnerait ;
il a fallu que j’aille sur le site de Nana pour l’apprendre.
Donc, seconde moralité de l’histoire: si vous voulez savoir ce qui
se passe en France, apprenez l’hébreu !
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