jeudi 12 janvier 2017

Obama, hors de la Maison Blanche, sera encore plus dangereux

Obama n'a jamais eu la stature, le profil et les compétences d'être président des États-Unis. Pire encore, il n'a jamais cherché à étudier les dossiers du Proche-Orient.  Pour lui il y a les bons israéliens qui lisent Haaretz, alors qu'il s’agit d'une poignée d’allumés qui ne représentent presque rien et les mauvais qui suivent Netanyahou. Il n'a jamais voulu intégrer que l’Organisation de Libération de la Palestine n’a jamais eu d’autre objectif que de s'approprier toute la terre sur laquelle s'est installé le peuple juif ; l'OLP ne s'est-il pas constitué en 1964, alors que la Cisjordanie était sous souveraineté jordanienne. Arafat a-t-il exigé du roi de Jordanie de créer un état palestinien sur la rive occidentale du Jourdain ?

Obama s'est fixé comme règle d'abandonner ses alliés et de favoriser les ennemis de l'Amérique et d’Israël ; lire l’Iran et l’intégrisme musulman sunnite.   Obama réfléchit de manière dogmatique, en s’affranchissant de la réalité, des dangers réels et des véritables ennemis qui menacent le monde civilisé. Le problème est qu’il est loin d’être le seul : l’Europe névrosée  et suicidaire pense et agit comme lui, le Pape qui a troqué Jésus par Mahomet, accorde sa bénédiction urbi et orbi à une bande de fanatiques, proclamant à tout va que Jésus n’est pas le pacifiste que vous croyez et «qu'il n’est pas juste d’identifier l’islam avec la violence". Bref, tous les repères sont brouillés au profit d’un angélisme pasd’amalgame : tout le monde il est bon et gentil, à commencer par les fossoyeurs de l’Occident.  


Devant la menace Trump qui annonce des temps nouveaux (c’est du moins ce que j’espère), les gauchos européens décadents, les Démocrates américains humiliés, l’ONU dégoulinante et la chrétienté  qui a déjà donné les clefs de ses églises aux Musulmans, va se chercher un Contre-Messie. Il y en a un tout trouvé : Hussein Barak Obama, justement  en chômage technique. 

Croyez-vous sincèrement qu’Obama à l’instar des ex Présidents américains qui, une fois leur mandat terminé, la mettent en sourdine ? Que nenni. Ce sera pour lui  l’occasion rêvée de se placer en homme providentiel qui saura unifier tous les nihilistes rêveurs, de France, de Navarre, de Washington et d’ailleurs. Sans fonction officielle, sans mandat, sans comptes à rendre. A coup d’influences médiatiques, d'envoyés spéciaux malveillants, de moyens financiers énormes - les Arabes et les Iraniens  le lui doivent bien -, de coups bas, et sans se faire prendre. 

Vous ne me croyez pas, rendez-vous le 21 Janvier.


 Et si on profitait de cette accalmie de roquettes pour parler des Harédim. Pardon, de certaines mouvances hassidiques, pour qui, la néglige...