jeudi 13 octobre 2016

Le Prix Nobel de littérature et l’Unesco sont certainement acoquinés quelque part. Quand le Nobel de Littérature accorde son prix à un chanteur juif américain, L’Unesco s’empresse de diluer la légitimité des Juifs sur Jérusalem.

Quels que soient la longévité et les talents de Bob Dylan, la Littérature avec un grand L mérite quand même mieux. Disons, un vrai écrivain qui recevrait le prix Nobel pour une œuvre qui tienne la route; je ne recommande personne. Un écrivain qui ne serait marqué ni par ses origines ni par sa notoriété mais par son talent. Ça existe encore, Messieurs et Mesdames du Nobel. Quant à l’Unesco, sa décision de diluer la pérennité juive sur Jérusalem en la trempant dans l’amalgame des trois religions, disons monothéistes, c’est à la fois une incongruité historique et un ignoble parti-pris politique. Le tout ressemble à "je vous enlève Jérusalem mais je vous donne Bob Dylan, de quoi vous plaignez-vous" ?

Eh bien, je me plains de ce que ces deux institutions jadis prestigieuses massacrent la littérature, la culture, l’éducation, et le sens du mot "patrimoine"; à savoir l’Histoire telle qu’elle fut écrite et non réinventée, pour plaire et complaire. Alors j’y vois une collusion, intentionnelle ou inspirée par l’air du temps, qui souffle sur ces deux institutions qui, une chose est certaine, n’aiment pas trop Israël.


A préciser que Bob Dylan, l’homme et le chanteur n’a rien avoir dans cette mascarade. 

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