Si les Palestiniens de Jérusalem-est et ceux de Judée
Samarie voulaient réellement un Etat indépendant, viable et démocratique, ils
l’auraient obtenu déjà il y a longtemps;. Vraisemblablement lors du plan de
partage de la Palestine approuvé par l’ONU le 29 novembre 1947, accepté par les
Juifs et refusé par les Arabes qui revendiquent l’ensemble du territoire. Après, l’histoire se répète, inlassablement. Rabin/Péres, Barak, et Olmert proposent aux
Palestiniens un territoire conséquent pour y construire une entité arabe
pouvant servir de base à un Etat souverain et, immanquablement les Palestiniens
refusent. Rien ne sert de se pencher sur les arguments plus ou moins fallacieux
invoqués par Arafat et ses mandataires arabes, le rejet de la main tendue est
toujours motivée par la même raison : "On veut tout ou sinon rien" et, il hors de question de cohabiter avec un Etat juif, parce qu’un Etat juif ne peut et ne doit pas
exister.
On aurait pu penser qu’au fils des générations les choses se seraient améliorées, or elles
ont empiré, notamment à cause des Accords d’Oslo. On oublie fréquemment que c’est lors de ces Accords maudits que les
Palestiniens ont obtenu une mainmise totale sur leur système scolaire et lesmanuels qui vont avec.
Jusqu'en 1967, la Jordanie contrôlait le système
scolaire en Cisjordanie, et l'Egypte, celui de Gaza. Après la guerre
de 1967, Israël s'est chargé de l'enseignement palestinien, avec les mêmes manuels
jordaniens et égyptiens, quelque peu amendés.
Les Palestiniens sont devenus
maîtres de leur système scolaire en 1994, dans le sillage des accords d'Oslo,
au cours desquels ils s'étaient engagés à suivre des "mesures de confiance" qui
comprenaient une réforme de l'enseignement. Or, depuis 22 ans il est coutume
d’enseigner aux charmantes têtes brunes que “S'il y a 13 juifs et que 9 sont
tués, il reste malgré tout quatre Juifs vivants ”. De la maternelle à la
Terminale on n’éduque pas les petits palestiniens, on les endoctrine dans la détestation
du Juif. Résultat : une nouvelle génération, élevée dans la haine d’Israël
est née.
Sur le fond du refus de l’entité sioniste qui ne date pas
d’hier et qui trouve ses racines lors des premières Allyot du début du XX ème
siècle, est venue se greffer une génération de jeunes palestiniens nourris
depuis leur naissance par la diabolisation du Juif et la nécessité impérieuse
de les éliminer. C’est cette génération concoctée par l’Autorité palestinienne,
nourrie de manuels scolaires subversifs qui saisit le matin un couteau dans la
cuisine familiale pour tuer de l’Israélien.
L’encadrement familial où c’est la Mama qui va chercher des
pierres bien pointues pour les remettre à ses chérubins afin qu’ils les
balancent sur les soldats de Tsahal et, où le papa pleure des larmes de joies
parc que son fils tué est devenu un Shahid, complète le tableau.
L’Autorité Palestinienne qui rétribue largement les familles
des Shahid abattus par Israël, dédommage pour toute destruction de maison ayant
abrité des terroristes, honore l'assassin par des funérailles grandioses et pousse
les gamins à tuer de l’Israélien, porte sa part de responsabilité.
L’idéologie mortifère où la mort est préférable à la vie,
pour je ne sais quelle récompense fallacieuse dans l’eau delà, complète le
tableau.
C’est à ces gens-là qu’il faudrait donner un Etat, nous serinent Obama et les
Européens. Un Etat qui deviendra immanquablement le repère de tout ce que la
planète compte de cinglés conditionnés, comme la nouvelle génération de Palestiniens,
à tuer du juif. Un Etat situé à un jet de pierres de la Ligne Verte.
Ah, si les Palestiniens ressemblaient aux Suédois - bien que
cette comparaison soit de moins en moins pertinente, compte tenu du nihilisme
et de imbécillité ambiante qui s’est installée dans ce pays- s’ils étaient pacifiques, industrieux,
soucieux de l’avenir de leurs gamins ; alors oui, Israël pourrait vivre en
bon voisinage avec un Etat palestinien. Seulement voilà, ils ne sont rien de
tout ça.
Alors la seule solution consiste à, dans un premier temps, annexer au
vu et au su des Nations, la zone C qui abrite les principales implantations
juives au-delà de la Ligne Verte et, dans un deuxième temps, se séparer
physiquement de la façon la plus hermétique
qui soit de ce que le monde entier s’entête à qualifier de "Palestine"».
Et surtout, surtout, balancer la clé à la mer afin que personne ne la retrouve.
Sur leur territoire ils feront ce que bon leur semble. Bien entendu, si les
Arabes israéliens manifestent leur
mauvaise humeur à l’égard de l’Etat hébreu, s'ils n'y sont pas épanouis, un passage sera prévu pour les
conduire fissa au-delà de la frontière , à Gaza ou en Palestine.
Bien vu, bien dit, efficace et à appliquer !
RépondreSupprimer(sorry : mais rectif : au-delà et non eau-delà ...moins bien que "le vin d'ici" (lol)
hé hé hé!
RépondreSupprimerveni, vedi.....vindiçci