vendredi 5 juin 2015

Si je pouvais, je me séparerais demain d’Israël ... j’effacerais Israël de la carte … je nierais la religion juive…, mais ça me coûterais trop cher

Si Je pouvais, je me séparerais d’Israël demain, mais je ne peux pas car ça me coûterais trop cher nous dit Stéphane Richard qui n’a pas investi un centime en Israël mais qui touche des royalties de l’Etat hébreu. Si je pouvais,  j’effacerais demain  Israël de la carte du temps et de l’espace nous disent les Musulmans toutes tendances et obédiences confondues, mais voilà, après-demain nous nous ferions pulvériser. Si je pouvais, j’affirmerai haut et fort que la religion juive est devenue caduque diraient les Chrétiens,  mais voilà, force est de reconnaître que le peuple juif revenu sur sa terre, démontre avec une clarté aveuglante, que c’est plutôt la chrétienté, le soi-disant nouvel Israël, qui devrait être  revisitée de fond en comble. Si je pouvais, je laisserais dieu hors de l’espace public, disent les Européens laïques, et qu’est-ce qu’ils reçoivent en échange : Allah !

La presse a mal rendu les propos et es gestes de Richard : il n’a pas dit "to cut" mais to "cut off", qui signifie couper définitivement la corde qui maintient le bateau amarré à la terre ferme ou, Israël au reste du monde, ajoutant le geste à la parole, puisqu’il a accompagné ses propos d’un geste de la main qui mimait  des ciseaux qui coupent un fil ... ou une artère. Les journaleux manifestement n’ont pas songé à visionner la séquence que j’ai pu voir grâce à la télé israélienne. Un geste violent, effectué grâce à un objet contondant, le tout avec une grande expression jubilatoire sur sa face. A part ça, il nous aime !

Le rêve, plus tellement secret, des Boycotteurs, des Musulmans, des Chrétiens et des Laïcs est qu’Israël, et par là même, son dieu et sa Torah n’existent pas, s’évaporent d’un seul coup. Ainsi, pensent-ils le monde redeviendrait parfait. Seulement çà n’est plus possible. L’histoire est en marche et malgré leurs tous efforts ils ne peuvent plus la réécrire.  Qu’ils soient en mesure de nous faire du mal, en Israël et en Diaspora, c’est certain, mais cela aussi est prévu par nos Textes. Donc, un maximum de Savlanout (patience) et zéro Sovlanout (tolérance) à l’égard des cons, des falsificateurs et des méchants.

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