Si Je pouvais, je me séparerais d’Israël demain, mais je ne
peux pas car ça me coûterais trop cher nous dit Stéphane Richard qui n’a pas
investi un centime en Israël mais qui touche des royalties de l’Etat hébreu. Si
je pouvais, j’effacerais demain Israël de la carte du temps et de l’espace
nous disent les Musulmans toutes tendances et obédiences confondues, mais
voilà, après-demain nous nous ferions pulvériser. Si je pouvais, j’affirmerai
haut et fort que la religion juive est devenue caduque diraient les
Chrétiens, mais voilà, force est de reconnaître que le peuple juif revenu sur sa terre, démontre avec une clarté
aveuglante, que c’est plutôt la chrétienté, le soi-disant nouvel Israël, qui devrait
être revisitée de fond en comble. Si je pouvais, je laisserais dieu hors
de l’espace public, disent les Européens laïques, et qu’est-ce qu’ils reçoivent
en échange : Allah !
La presse a mal rendu les propos et es gestes de Richard :
il n’a pas dit "to cut" mais to "cut off", qui signifie
couper définitivement la corde qui maintient le bateau amarré à la terre ferme
ou, Israël au reste du monde, ajoutant le geste à la parole, puisqu’il a
accompagné ses propos d’un geste de la main qui mimait des ciseaux qui coupent un fil ... ou une artère.
Les journaleux manifestement n’ont pas songé à visionner la séquence que j’ai
pu voir grâce à la télé israélienne. Un geste violent, effectué grâce à un objet
contondant, le tout avec une grande expression jubilatoire sur sa face. A part
ça, il nous aime !
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