Si par malheur la droite israélienne venait à perdre les
élections, ce serait non seulement un coup terrible pour Israël, mais la
disparition du seul véritable opposant à Obama et par là même du dernier rempart
contre l’Islamisme galopant.
Binyamin Netanyahou est le seul à oser s’opposer frontalement au sieur Obama, l’égérie
(désolé, ce mot n’existe qu’au féminin) de l’Islam en tous genres et sous
toutes les formes.
Obama a donné le ton lors de son discours au Caire le 4 juin
2009 en louant la grandeur passée, actuelle et à venir de l’Islam et de ses
bienfaits sur l’humanité, et n’a pas varié d’un iota depuis ce jour funeste. Cet
encouragement à l’Islam à se projeter au-devant de l’Histoire a contribué à ôter
aux Musulmans leurs derniers complexes, si jamais ils en avaient encore. Si
même le Président des Etats-Unis considère que nous sommes des gars formidables
et que notre religion est ce qui se fait de mieux dans le genre, alors on ne va
plus se gêner à propager notre foi et notre loi par tous les moyens, y compris
les plus sanglants.
Le soutien d’Obama aux
Frères Musulmans en Egypte et sa bienveillance vis-à-vis du régime iranien
démontre clairement au monde entier que
les Musulmans n’auront rien à craindre du seul pays de la planète en mesure de freiner son prosélytisme djihadique; le
tout accompagné d’une hostilité non déguisée vis-à-vis d’Israël et de son
Premier ministre. L’intervention parfaitement inefficace de l’Amérique contre
Daesh en est la preuve par neuf.
Les dirigeants de l’Europe occidentale, par mimétisme et par
choix, se sont alignés sur la position d’Obama. Mollesse, laxisme, falsification
de l’Islam à l’usage du quidam lambda, Rome et ses satellites - lire l’Europe
occidentale - sont fins prêts à tomber comme un fruit trop mur aux mains des
barbares, et aucun Winston Churchill ne se lève à l’horizon pour tonner contre
l’Islamo-nazisme.
Si Israël venait à basculer à gauche, les nouveaux
dirigeants, soucieux de plaire au sieur Obama, s’empresseraient de s’aligner
sur la position occidentale, épousant l’air du temps et reprenant à leur tour
le mot d’ordre "pasdamalgamme". Pire encore, ils feraient des
concessions territoriales aux pseudos palestiniens qui n’en demandent pas tant.
La seule voix qui ose défier, non seulement Obama mais le
laxisme ambiant, est Israël, dans la mesure où ses dirigeants se situent au
Likoud et/ou au Baït Hayéhoudi. Le monde devrait nous baiser les pieds pour
notre intransigeance et notre clairvoyance. Au lieu de ça, ils sont vilipendés,
en Europe aux USA et, en par une large fraction de la population israélienne. "Seulement
pas Bibi" est le slogan à la mode, alors que Bibi, celui qui a le plus à
perdre de la confrontation frontale avec Obama, est le seul à tirer la sonnette
d’alarme sur la guerre de religion que déclare l’Islam au monde encore quelque
peu civilisé.
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