Nous n'avons pas provoqué, ni voulu de cette guerre, elle
nous a été imposée par nos ennemis, et
amplifiée, encouragée et médiatisée, à
notre désavantage bien sûr, par
à peu près toutes les Nations de la terre
qui sont, comme nos textes nous l'enseignant,
au nombre de soixante-dix
Septante, comme les 70 peuples et langues (Am vé Lashon) qui
ont émergé de la Tour de Babel, Septante
comme le Guématria (valeur numérique) de Gog et Magog, soit le nombre total des
Nations à qui Israël fera la guerre à la fin des temps (et qu’elle gagnera).
Mais aussi, 70 comme les âmes que convertit Abraham et qui le suivirent dans sa
route vers Canaan, 70 Hébreux qui
rentrèrent avec Jacob en Egypte, 70 membres du grand Sanhédrin (Grand
Tribunal), en référence aux 70 Anciens
qui accompagnaient et assistaient Moïse (Nombres 11:6) dans le désert…
Le chiffre 70 n'est pas un chiffre comme les autres pour les Hébreux, c'est tout un symbole,
voire un programme.
Dans cette guerre imbécile et inutile, Israël ne s’est pas
contenté de lutter contre des Gazziates mais elle a dû faire face aux soixante-dix
nations qui l’ont critiqué, boycotté, traité de tous les noms d’oiseau.
Négligeant et oubliant tous les massacres et génocides auxquels se livrent les
Arabes, y compris contre les Chrétiens, ses frères, l’Occident s’est focalisé sur Israël, ces « Nazis et criminels de guerre juifs ».
Bibi Netanyahou, tant vilipendé, ne s’est pas contenté de
livrer la guerre aux Arabes mais a dû aussi batailler avec tous les
dirigeants, si sensibles, des soixante-dix Nations pour qui seules comptent les
images exportées de Gazza, diffusées et amplifiées par les Médias d’une
partialité à vomir. Les Américano-européens ont oublié l’Ukraine et Poutine et,
les deux grands dadais qui siègent à Washington, lire Obama et Kerry, suivis, voire précédés par leurs collègues
européens ont porté toute leur sollicitude à Gazza meurtri.
Des soldats israéliens ont été tués à Gazza, les civils
israéliens ont été bombardés pendant 50
jours, tués, blessés ou "simplement » traumatisés", et les Juifs en Diaspora ont été livrés à la
foule haineuse qui a scandé en toute impunité "mort aux Juifs".
Il est clair aujourd’hui qu’Israël doit faire face, non
seulement aux Arabes mais aussi à l’Occident qui les soutient. Bien des morts
auraient pu être évités si l’Occident l’avait voulu. Mais non, il a laissé
faire et c’est Mahmoud Abbas qui a finalement sifflé - provisoirement - la fin
du match.
Un jour les
soixante-dix Nations devront rendre des comptes des 70 âmes qui nous ont été
enlevées
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