mercredi 3 juillet 2013

Une année d’Islam à hautes doses a suffi aux Egyptiens pour comprendre

Après 80 ans dans l’ombre à comploter contre le pouvoir en place, les Frères Musulmans qui ont su surfer sur la vague révolutionnaire bobo du Printemps arabe, ont finalement accédé aux plus hautes fonctions de l’appareil de l’Etat et placé leurs hommes de liges dans les provinces.
Un an a suffi pour montrer leur incompétence dans la gestion de l’Etat à tous les niveaux et, pour que l’Islam, à hautes doses, insupporte et inquiète le peuple égyptien. La nouvelle constitution, à voter, qui devait subordonner les principes du droit à la charia islamique, version sunnite, avec l’aval des dignitaires de l’université islamique d’Al Azahr  a mis le feu aux poudres.

A ce stade on est en droit de s’interroger sur la pertinence de l’islam à former des individus en mesure de gouverner, et plus globalement sur le rôle que doit jouer la religion mahométane dans la vie des hommes, y compris dans un pays où qui compte 90 % de musulmans.

Si l’Islam fut et continue à être un outil de conquête, une religion de guerre, il n’est manifestement pas adapté à proposer un modèle viable en temps de paix. Heinrich Himmler, le Reichführer SS l’avait parfaitement compris : « Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. » Et  Hermann von Keyserling un aristocrate opposé au fascisme de déclarer : « Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. »

Les observateurs qui se focalisent sur Morsi négligent la face cachée de l’iceberg qui maintient à flots les Frères Musulmans et consorts ; à savoir le modèle islamique en tant qu’outil politique. C’est celui-ci qui est rejeté par les Egyptiens qui refusent que leur vie soit régie par la charia.   Les Egyptiens ont vécu sous des dictatures diverses mais jamais sous l’emprise islamique, et peu importe les agents qui s’en réclament. Si un an d’Islam à hautes doses a permis aux Egyptiens pour comprendre qu’ils n’en voulaient pas d’avantage, ce qui se passe aujourd’hui en Egypte devrait ouvrir les yeux de l’Occident en général et du sieur Obama en particulier qui, dans son lâchage de Moubarak et par son soutien aux Frères, est le principal responsable de la situation actuelle.

Winston Churchill disait : « L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles (.) Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde.(.)Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. »  Fermez le ban !!!

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