samedi 29 septembre 2012

On est toujours le Rom de son Arabe ou l’autodafé anti-Blanc légalisé


Marseille : "On s'est dit qu'il y avait trop de Roms", titre l’article du le Point, reprenant la belle phrase de Rashid le marseillais. Alors Rashid a appelé quelques frères à la rescousse et ils ont réglé le problème. Hitler, lui cramait les Roms, Rashid s’est contenté de brûler leur campement. Ainsi va la vie dans la belle cité phocéenne où il y a trop de Roms et, aussi quelques arabes. La sénatrice PS Samia Ghal a déclaré qu'elle "comprenait" la réaction des habitants face aux Roms. Alors, si les élus de la République comprennent, qui suis-je pour m’indigner ?
 
Il n’empêche qu’un précédent a été créé et qu’il va faire jurisprudence et, tache d’huile. Dans la France, désormais normale, il est autorisé de brûler le campement, la demeure, les tentes en dur ou en toile, en tôle et en carton, ou toute autre forme d’habitation, si la gueule de leurs habitants ne vous revient pas, avec l’approbation tacite des Pouvoirs publics et, sans craindre la moindre poursuite judiciaire.

Je m’interroge: cet autodafé - littéralement, destruction par le feu - ne serait-il pas la manifestation  du racisme anti-Blanc dont nous parle Copé ? Après tout, les Roms, bien que légèrement bronzés, mais d’un bronzage différent de celui de Rashid,  sont des ressortissants de l’Union Européenne, qui, jusqu’à preuve de contraire, sont en majorité blancs. Donc, pour poursuivre dans cette logique, le racisme anti-Blanc pourrait prendre d’autres formes. Exemple : une supérette casher de trop s’implante dans un quartier non-Blanc  à Sarcelles, alors on la fait sauter. Zut,  ce n’est pas un exemple mais un fait divers qui s’est déjà produit. Une école juive s’installe dans un quartier non-Blanc, alors on sort les allumettes et quelques substances qui attisent le feu. Il peut aussi arriver que tous les élèves ne soient pas sortis. Peu importe, on appellera çà une bavure.

Je délire, me direz-vous. Vraiment ?

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